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La mémoire est héréditaire. En effet, il a été prouvé par multiples expériences sur des animaux, que lorsqu'un être vivant apprenait quelque chose (comme une souris apprendrait à éviter un chat), sa descendance le saurait dès sa naissance. Cette mémoire se transmet à travers les gènes. Les caractères physiques des individus : la couleur des yeux, des cheveux, la forme de visage, les ressemblances entre les parents et leurs enfants, sont eux même le résultat de cette mémoire génétique héréditaire. Dans le Passeur, les liens familiaux, et donc l'hérédité, sont volontairement mis de côté avec la création des cellules familiales dans lesquelles les parents et les enfants n'ont aucun lien de sang : "Deux enfants - un masculin, un féminin - par cellule familiale. C'était écrit très clairement dans le règlement."

 

La mémoire héréditaire qui consiste à la rencontre de deux cellules sexuelles. Cela fournit une constitution chimique propre à l'individu qui sera la base élémentaire de la personnalité et des aptitudes de cet individu. On peut observer une ressemblance entre deux êtres de la même lignée et donc un lien de parenté entre les êtres humains.

Les mémoires biologique et génétique, des facteurs importants pour l'hérédité.

Expérience filmée de la double diffusion en gel d'Ouchterlony 

A l'aide d'un emporte-pièce de diamètre 5mm, nous avons percé dans le gel d'aggarose des trous qui contiendront ensuite le sérum.

Une fois les trous percés (sur un plan précis en cercle), les sérums ont été déposés à l'intérieur, l'antisérum à tester se trouvant au centre.

Une fois l'expérience achevée et les 24h d'attente passée, les arcs de précipitation se forment (puits 4 et 6).

L'expérience réalisée nous permet d'identifier la présence d'une mémoire au sein même de l'organisme des êtres vivants. Après avoir laissé reposer le gel pendant 24h, nous observons les résultats de la boite de pétri. L'antisérum (puit central) réagit avec les antigènes, puit 6 (BSA) et puit 4 (sérum de boeuf) car il y a une laison antigène-anticorps. Cette liaison est visible à l'oeil nu grâce aux arcs de précipitation. Ils se forment car l'antisérum est reconnu par les antigènes. On en déduit donc que les anticorps ont une mémoire, ainsi ils reconnaissent une maladie contre laquelle ils ont déjà lutté. C'est pourquoi notre corps, grâce à la mémoire des anticorps, nous protège plus rapidement lorsque nous avons déjà eu la maladie.  Dans le Passeur, cette mémoire des anticorps est présente mais annihilée, car l'absence de maladie la rend inutile.

La Mémoire

©2015 TPE 1°S3 aux Lazaristes

Pauline de Courtilles, Amaël Nabet, Albane Novel

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